Sortie de fin d'année de la badass team de Harrisson, organisée par Harrisson, et filmée par Harrisson. Une courte vidéo qui donne envie de courir je crois. Beau travail!
Le parcours ici:
vendredi 25 décembre 2020
samedi 19 décembre 2020
Confinement à l'université de Tokyo
Au Japon, point de confinement obligatoire lors de la première vague du covid-19, mais un auto-confinement de la population qui a été assez efficace semble-t-il.
Habitant à quinze minutes à pied de mon travail et ne prenant donc pas les transports en commun, je fus l'un des dernier à errer dans les allées vides de l'université, et l'un des premier à y revenir.
Voici quelques photos témoignant de cette drôle de période.
L'allée principale bordée de ginkgo avec un camarade de solitude au loin:
La même allée le 28 novembre 2017
Bon, c'était l'époque des ginkgo jaunes et probablement vers midi, ça biaise un peu.
Mais à la fin du confinement c'était l'époque des cerisiers en fleur et les touristes ne pouvaient plus rentrer sur le campus. Ils ne peuvent toujours pas.
La bibliothèque principale:
Encore une petite comparaison avant après. Confinement:
Maintenant au même endroit (encore l'époque des ginkgo jaunes, mais c'est pour ça que j'ai une photo!). Pas la foule quand même (c'était pas le but de la photo), mais on voit qu'il y a pas mal de monde qui se dirige vers la cantine.
Mais je ne me laissais pas dépérir, d'autant plus que la boutique à 100 yens était toujours ouverte. Yakiimo (patate douce grillée) à la pause:
Pour finir, le Mita-lab où j'étais souvent seul, ou bien avec Mizushima-san qui elle aussi ne prenait pas les transports en commun.
Et en deuxième bonus, une vidéo de mon petit coup de coeur du moment, Benee, avec un morceau dont le titre est en bon accord avec le thème du jour: supalonely! (super seul pour les non anglophones)
jeudi 10 décembre 2020
201003 - Nikko-Shirane
Le 3 octobre 2020, un espagnol, un italien et un français ont fait l'ascension du mont Nikko-Hirane, l'une des 100 montagnes célèbres du Japon (日本百名山), accompagnés de bon nombre de locaux, craignant peut être que ce ne soit l'un des derniers weekend avant que la neige n'envahisse les chemins menants à un sommet situé tout de même à 2578m d'altitude.
Les lacs sont relativement rares dans les montagnes japonaise, et la présence d'une étendue d'eau bleutée au pied du mont rend cette ballade d'autant plus agréable.
Emilio, Luigi et Eric, au sommet:
Nous n'avons pas suivie la tradition qui consiste à se faire prendre en photo avec les pancartes, disposées à cet effet, indiquand le nom de la montagne et son altitude. Et pour cause, il y avait une longue file d'attente pour accéder au graal.
Un autre petit lac.
Et une petite biche. Mais si, mais si, toute petite là, au milieu.
Il faut redescendre là-bas en bas.
mercredi 9 décembre 2020
mardi 8 décembre 2020
201129 - Moriya
Pas dimanche dernier, mais celui d'avant, nous avions envie de sortir, mais pas trop loin. Une fois n'est pas coutume, Yuki a pris les choses en main et m'a fait trois proposition. J'ai choisi la plus près. La gare de Moriya, à 50min de chez nous tout de même, dans la préfecture d'Ibaraki.
Ce n'était pas prévu, mais depuis le train nous avons apperçu un temple à deux pas de la gare alors forcement on y a fait un tour.
Evidemment on en a profité pour compléter notre collection de chats.
Puis repos dans une cour privée.
Première fois que nous assistons à la ceuillette de racines de lotus (renkon), qui se mangent au Japon.
Avant de traverser un petit coin presque sauvage dédié à l'observation des oiseaux (on les a bien entendus mais très peu vus).
Pour finir dans un restaurant allemand, bon mais pas très copieux.
La station Moriya se trouve là:
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